L'Espagne recevait une vague de froid venue de Finlande, elle n'aura pas réussi à la vaincre, 1-1.
Les Finlandais n'ont existé que d'une seule manière ce soir, comme un mur de glace. Avec un jeu froid et ingrat, les visions de match sont logiques, défense et contre attaque. En première mi-temps, l'Espagne, malgré son statut de favori, n'aura jamais réussi à faire la différence. Une domination totale, 12 tirs et 78% de possession mais rien de concret. 

Et puis, comme un symbole, Sergio Ramos joue son 100ème match avec l'Espagne, c'est un signe peut-être. Un corner, une tête venue de nulle part, l'Andalou s'octroie et offre le plus beau des cadeaux, un but à l'importance capitale avant le match contre la France, mardi. 
Le calme avant la tempête correspondrait parfaitement à ce qui se passera 10 minutes avant la fin de la partie. Une contre attaque, tactique évidente, trompe la Roja, Pukki égalise, c'est un fait, 1-1. Les hommes de Del Bosque ne répondent plus. 
La pression s'intensifie, les réalisations s'enchaînent, la réussite est absente. La certitude perd tout son sens, l'Espagne inquiète, un peu. La Finlande a joué, une fois, intelligent ou cruel, le résultat en restera là, 1-1. La rencontre de mardi contre l'EDF aura une atmosphère différente, peut-être que l'on verra une Espagne revancharde ou juste arrêtée. 

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